Obélix et la ruse vegan
Le dernier opus des aventures d’Astérix-Obélisque (L’Iris blanc, scénarisé et dessiné par Fabcaro et Didier Conrad, les successeurs de Goscinny-Uderzo, éditeur Albert René) fait son miel de nos turpitudes actuelles.
Il imagine que César veut affaiblir et pacifier les Gaulois d’abord en troublent leur intelligence et leur comportement par d’étranges idées venues des villes, et surtout en les privant de leur met favori, le fameux sanglier.
En fait, il ne s’agit pas d’interdire brutalement, mais de dissuader peu à peu les Gaulois de consommer de la viande, dans le but de les affaiblir physiquement et surtout moralement. César confie au « Medicus suprême » de l’Empire la mission de ragaillardir ses légionnaires et surtout d’affaiblir la résistance physqiue et mentale des Gaulois.
Ce gourou pervers et sentencieux devient l’hôte permanent du village gaulois où, par ses propos hermétiques et ses idées troubles, il séduit quelques notabilités influentes de la communauté.